MyMarguerit est un placement de diversification et un financement alternatif pour l’agriculture

MyMarguerit est un placement financier investi en biens divers, exclusivement au profit du financement de l’élevage bovin français. L’épargne des Français finance ainsi l’agriculture française.

MyMarguerit n’est pas une banque, et finance exclusivement le vivant, à savoir des vaches, des génisses, des bœufs.

La solution est éprouvée depuis 50 ans et le produit est enregistré AMF D-21-01.

Une mécanique très simple, sans intermédiaire

MyMarguerit via sa régie, sélectionne les projets de financement des éleveurs français (transmission de la ferme, installation, agrovoltaïsme, méthanisation, transition écologique …).

Les projets sont présentés aux investisseurs personnes physiques.

Les placements réalisés dans le fonds Unicheptel permettent de financer les projets des agriculteurs, de manière mutualisée, pour limiter les risques.

Les éleveurs peuvent selon leur choix, obtenir de l’argent en refinançant leurs vaches pour réaliser leur projet, ou acquérir un cheptel.

Au final, les animaux sont placés en location auprès des éleveurs qui payent un loyer, les investisseurs deviennent donc juridiquement propriétaires des animaux. Le loyer est payé en nature et converti en euros pour l’investisseur.

Historique de notre groupe

L’investissement dans le cheptel bovin est sans doute l’un des plus anciens placements du monde, probablement le 12 ème siècle en France. Nous en proposons une version moderne et pour autant toujours efficace.

Depuis 1970 : Des agriculteurs trouvent eux-mêmes ce mode de financement alternatif.

En 1970, une ferme de l’Isère a été le berceau de la première structure de gestion de cheptel en Europe. Cette exploitation, s’étendant sur 825 hectares, a cherché une solution de financement alternative pour commercialiser son lait dans des conditions optimales. Ils ont ainsi découvert le bail à cheptel, une pratique qui remonte à une loi de 1804 et qui trouve ses racines dans des usages ancestraux. C’est ainsi qu’est née Gestel en 1972.

1980 : Développement d’un fonctionnement sûr et solide

Pendant plusieurs décennies, Gestel Locowtel cumule les activités de régisseur et d’intermédiaire financier au sein d’une même structure. Celle-ci s’occupe parallèlement des intérêts de ses investisseurs et assure le suivi administratif et technique des troupeaux confiés à la charge des éleveurs. Les éleveurs entretiennent des génisses louées aux investisseurs et font commerce du lait, des veaux et de la viande ; les investisseurs retirent les avantages financiers et fiscaux de leur placement.

1990 : La modernisation et la séparation entre Gestel et Élevage et Patrimoine

L’AMF (Autorité des Marchés Financiers) née de la fusion entre la COB et le CMF, demande une répartition réglementaire entre l’activité de régie (Gestel) et l’activité de vente aux investisseurs (Élevage et Patrimoine).

2021 : Le Produit Financier est enregistré auprès de l’AMF

L’année 2021 est marquée par l’obtention du numéro d’enregistrement auprès de l’AMF D-21-01(Autorité des Marchés Financiers).

2023 : La marque unique MyMarguerit permet de présenter une offre complète à destination des investisseurs et des éleveurs pour souligner le fléchage direct de l’épargne vers l’agriculture française, les deux entités juridiques Elevage et Patrimoine et Gestel gardant bien leur rôle respectif.

La qualité de service

MyMarguerit veille à ce que nos investisseurs soient suivis et conseillés. Nos équipes commerciales, intégralement basées à Lyon, répondent à tous les besoins de nos clients.

Les clients disposent d’un espace client dédié avec les documents nécessaires.

Tous les ans, les formalités comptables comme la liasse fiscale de l’activité exploitant agricole, donnant droit à l’avantage fiscal, sont établies gratuitement par nos équipes.

Le secteur a connu quelques arnaques, donc il n’y a qu’un seul opérateur agréé par l’AMF proposant ce type de placement, c’est MyMarguerit proposé par la société Élevage et Patrimoine.

Le dire c’est bien, le prouver c’est mieux !

L’investissement en biens divers comporte des risques de pertes totales ou partielles du capital investi et les performances passées ne préjugent pas des performances futures.